George Lilanga ou le « Picasso de l’Afrique »

George Lilanga ou le « Picasso de l’Afrique »

Un artiste tanzanien à l’envergure internationale

George Lilanga est un artiste tanzanien, né en 1934 et décédé en 2005. Son œuvre se décline sous différentes formes et ce, à travers le temps. Par la sculpture, comme par la peinture et le dessin, il met en scène de petites figurines légendaires dans un univers aux couleurs vives et aux danses transcendantales. S’inspirant de la mythologie Makondé, l’artiste nous emmène dans ses univers d’où émanent la fureur et la joie de vivre, incarnées en des personnages d’une fantaisie absolue.  Initié à la sculpture et à la peinture durant son adolescence, son attachement à ses traditions se manifeste par une créativité novatrice où l’exubérance fait émerger un monde coloré dont la puissance trouve sa profondeur dans la cosmogonie de ses origines et dans le quotidien tanzanien.

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La négligence mondiale, la décadence climatique. L’enjeu contemporain

Tandis que certains observent le changement climatique comme l’œuvre qui participera à l’émergence de nouvelles ressources, de nouvelles terres, ce qui favorisera l’économie mondiale quant à l’exploitation, ainsi que la pluralité d’offres touristiques ; ce phénomène est aussi et surtout la destruction de l’environnement terrestre, animalier et humain qui s’annonce.

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Vers un schéma idiocratique

Film de 2006, Idiocracy est la grande caricature de la société moderne, à son paroxysme. Nous sommes 500 années plus tard dans un univers où la mondialisation alliée à son compère le capitalisme ont réduit l’intelligence humaine à un Quotient Intellectuel environnant le chiffre 50. Résultat, nous sommes dans un monde où chacun est client perpétuel de sa propre imbécilité et se retrouve réduit à passer ses journées sur un siège géant où il défèque, se nourrit d’une nourriture indéfinissable et s’hydrate à la boisson gazeuse. L’existence de celle-ci remplaçant l’eau, car tous ont détruit l’environnement par le biais du monde industriel. C’est l’apogée du culte de l’inculture.

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